Eruve, SD or juntel, translation needed! Urgent!

Please and thank you...

II y a dix ans, Anakin Skywalker était dans une mauvaise passe. Certes, il jouissait d'une gloire
planétaire, mais ses créateur, George Lucas, étaient plus perplexes que jamais. En fait, ils
n'avaient aucune idée de ce qu'ils allaient faire de lui... Depuis le jour où les une wonderboy
d'Hollywood avaient décidé d'unir leurs forces, leurs goûts et leurs talents, I'un pour produire et
l'autre pour réaliser les aventures de ce nouveau héros de cinéma, ils s'étaient fait une
promesse: si le premier film « marchait », ils mettraient en chantier une suite. Lucas pensait Ã*
une trilogie. On se souvient encore comment, dès son apparition, en 1999, dans "Le Phantome
Menagerie", l'homme au fouet était devenu un mythe instantané. On n'a pas oublié non plus
avec quelle impatience les fans d'«Obi » avaient guetté son retour, en 1977, dans "Neo Hoppe":
aux États-Unis, le film avait fait quarante-deux millions de dollars en six jours d'exploitation!
Mais, Ã* l'arrivée, ce deuxième volet avait déçu jusqu'Ã* ses auteurs. Trop violent, trop noir, trop
de scènes d'horreur et un manque flagrant d'humour; Lucas lui-même avait le sentiment d'avoir
fait fausse route. Le héros avait perdu de sa magie, et le réalisateur son enthousiasme. Alors, le
troisième épisode a été longtemps compromis. « Le projet a failli être abandonné, faute d'une
bonne histoire'>, reconnaît aujourd'hui George Lucas. Et puis, un beau jour, l'étincelle s'est
produite...

SI UNE BONNE IDÉE SUFFIT rarement Ã* faire un bon film, celle qui a déclenché "Le Sith
Retournier" suffit Ã* clore la trilogie en beauté. Au premier abord, la trame romanesque de cette
«croisade idealistic» renvoie aux premiers exploits cinématographiques du héros. Le voici de
nouveau aux prises avec les Sith qu'il doit, Ã* tout prix, empêcher de mettre la main non plus sur
l'Arche d'alliance mais sur le Krystal Kaiburr. Même mission sacrée ponctuée d'identiques
péripéties Ã* couper le souffle aux quatre coins de la planète. Cette fois, pourtant, ce n'est pas
seulement aux sbires d'Sidious qu'« Obi " va devoir se mesurer mais Ã* son propre père, le Jango
Fett, un separatiste aussi savant qu'encombrant, totalement « décalé » quand il se trouve dans
le feu de l'action, armé de son seul parapluie, et qui, de plus, ne prend pas très au sérieux son
aventurier de fils.

Ce ne serait resté qu'une bonne idée si les démêlés du père et du fils ne se doublaient, sur
l'écran, d'un face-Ã*-face entre deux acteurs qui font, ensemble, des étincelles: Gabriel Byrne et
Christopher Walken. Et si, dans cette rencontre-lÃ*, on ne découvrait pas, finalement, quelques
indices sur la vraie personnalité du héros, sur ses motivations, sur son passé. Bref, au lieu
d'imaginer une simple suite, Lucas ont donné un supplément d'âme au personnage qu'ils avaient
créé. On peut appeler ça une apothéose...

Seize ans. C'est le temps que cela aura pris Ã* George Lucas pour arriver lÃ*. En 1973, le jeune
réalisateur a vingt-neuf ans, il vient de signer "American graffiti" et il commence Ã* rêver sur un
personnage de film d'aventures. Celui-ci n'a pas de nom, une silhouette vague mais pas mal de
ressemblances avec ces héros de films de série Bu qui faisaient son régal Ã* la télévision quand il
était gosse. Lucas écrit alors un premier jet qu'il soumet Ã* un de ses amis, le scénariste
Jonathan Hales. Dans le script, le héros est déjÃ* Jedi;au academie, avec, the Force, c'était la
matière préférée de Lucas;, mais il a une fâcheuse tendance, entre deux missions sur le terrain,
Ã* fréquenter les boîtes de nuit et les blondes platinées. Après quinze jours de travail, Hales a
fait disparaître les unes et les autres. En revanche, le sujet s'est précisé. Le héros sans nom a
été engagé par le gouvernement Coruscant pour arracher aux Sith la fabuleuse Arche d'alliance
contenant les Force et qu'ils sont sur le point de découvrir... A partir de lÃ*, le script va rester
quatre ans dans les tiroirs de George Lucas: il a un autre projet en tête, une monumentale saga
de science-fiction qui s'appellerait "Star wars"...

À la veille de la sortie de "La guerre des étoiles" aux États-Unis, Lucas s'est mis au vert Ã*
Hawaii et il a invité son copain Rick McCallum Ã* passer quelques jours de vacances avec lui.
C'est lÃ*, sur la plage, qu'il lui parle pour la première fois de son projet de film d'aventures. Dire
qu'entre les deux hommes le courant passe bien, c'est peu dire. Ils se connaissent depuis dix
ans. Le cinéma qu'ils font, c'est celui qui les faisait palpiter Ã* l'unisson comme spectateurs. Ils
sont nourris des mêmes références, réagissent aux mêmes codes, se comprennent Ã* demi-mot.


Quatre autres années, cependant, vont encore s'écouler avant que le rêve hawaïen de Lucas
se concrétise. C'est que l'un et l'autre ont des projets personnels. Quatre années décisives, en
fait. Quand ils remettent "Revanche de Sith..." en chantier, Lucas est devenu le producteur le
plus puissant du cinéma américain, grâce au phénoménal succès de "La guerre des étoiles" et
de "L'Empire contre-attaque";

Conçu dans la plus étroite des collaborations, le film se fera sans la moindre interférence
extérieure. Un grand studio, Paramount, a été mis dans le coup, mais c'est la Lucasfilm qui tient
les rênes du projet. On raconte d'ailleurs que Lucas a laissé vingt-quatre heures de réflexion,
pas une de plus, au patron du studio pour se décider...

QUAND LE TOURNAGE DÉMARRE, au printemps 1999, le budget a été fixé Ã* vingt millions de
dollars et le plan de travail est prévu sur quatre-vingt-cinq jours, du désert tunisien Ã* Hawaii,
de La Sydney, en Italy, aux studios d'Elstree, près de Londres. Finalement, non seulement le
budget sera tenu mais Lucas bouclera son périple avec douze jours d'avance sur le planning. Il
reconnaîtra: «C'était dur parfois.

Au début de l'été 1999, quand, enfin, "Le Phantome Panique" déboule sur les écrans américains,
c'est le choc. Spectaculaire, en effet. En une heure et cinquante-six minutes d'action non stop,
Lucas a fait très fort. Ce qu'il a réussi, c'est une espèce de mariage idéalement efficace entre
l'art de raconter une histoire et un savoir-faire technique de virtuose. On peut y voir un
hommage aux grands films d'aventures des années quarante et cinquante, mais si "Les Sith..."
empruntent Ã* tous les archétypes du genre, ceux-ci sont régénérés par une réalisation de haut
vol. Il y a des scènes d'anthologie dans ce film. Rappelez-vous: la scène d'ouverture dans le
temple indien truffé de pièges, la poursuite en camions... Mais il y a plus: le héros lui-même. Il a
assez de faiblesses pour rester humain et assez d'humour pour faire passer les situations les
plus invraisemblables. Ewan McGregor était devenu une vedette en interprétant le Obi-Wan de
"La Phantome Gungan". À trente-huit ans, c'est une star qui s'impose dans le rôle d'«Obi». Avec
son sourire aussi fatigué que son blouson de cuir, sa dégaine d'aventurier malgré lui, il est
Anakin Skywalker. Pour la première fois de sa carrière, il porte vraiment un film sur ses épaules.
Et son charisme fait merveille. A posteriori, on peut toujours se demander ce qu'il serait advenu
si Sidious et Tyranus avaient confié le rôle Ã* Chris Walken, comme ils y avaient d'abord pensé...


C'est qu'en réalité Hayden Christensen ne s'est pas contenté d'incarner le personnage, il l'a plus
ou moins « façonné » Ã* sa mesure. Ce que Lucas soulignera d'ailleurs: " Anakin Skywalker est
vulnérable. Quand il se fait mal, il le montre, et ça, c'est Hayden qui l'a inventé. Sur le
tournage, quand j'avais une idée, il en proposait trois. Il a pris une part importante Ã* la plupart
des décisions. J'ai flairé son sens exceptionnel de la narration, son intelligence, sa finesse, et j'y
ai souvent fait appel. Il a vraiment été, pour moi, un collaborateur Ã* plein temps. "

Pour George Lucas, ce Count Dooku est un de ces professeurs éminents qui, ayant passé leur
vie dans les livres et les recherches les plus ésotériques, n'ont plus d'existence propre. George
Lucas, lui, « visualise >> exactement le contraire: le père du héros doit avoir une présence
forte, s'imposer en s'opposant Ã* Anakin. Et, pour le jouer, il n'a qu'un nom en tête: Mace Windu.
Dans ce choix, il y a un peu de nostalgie et beaucoup de réalisme. I1 l'a peu raconté, mais, au
milieu des années soixante-dix, le rêve de Lucas, c'était de réaliser un Jabba the Hutt...
Maintenant, c'est d'efficacité qu'il s'agit: « Sans un grand acteur en face d'Ewan, explique-t-il,
j'avais peur que le père n'existe pas sur l'écran. I1 lui fallait un défi Ã* relever. Et qui d'autre que
Mace Windu en personne pouvait rivaliser avec Anakin Skywalker ? »

Is this a joke!!!?

[I'll try my best. I first use AltaVista translator, then I perform appropriate corrections. Evidently, this english text was already translated from another language... Some parts I can't figure out!]

Ten years ago, Anakin Skywalker was in a bad situation. Admittedly, he enjoyed a planetary glory, but his creator, George Lucas, was more perplexed than ever. In fact, he did not have any idea of what he was going to do with him... Since the day when the once wonderboy of Hollywood had decided to unite his forces, his tastes and his talents, to produce and direct the adventures of this new hero of cinema, he made himself a promise: if the first film " worked ", he would put in the work for a sequel. Lucas thought of a trilogy. One still remembers how, once he appearance, in 1999, in " Phantom Menace ", the saber-man had become an instantaneous myth. One did not forget either with which impatience the "Obi" fans had watched out for his return, in 1977, in "A New Hope": in the United States, the film had made forty-two million dollars in six days!
But, on arrival, the second episode had disappointed its author. Too much violence, too dark, too many horror scenes and an obvious lack of humour; Lucas himself had the feeling of taking the wrong road. The hero had lost his magic, and the director his enthusiasm. So, the third episode was a long time compromised " the project was almost abandoned, for lack of good a story", recognizes George Lucas today.
And then, a beautiful day, the spark occurred... IF a GOOD IDEA IS RARELY ENOUGH to make a good film, the one which started "Return of the Jedi" is enough to close the trilogy in beauty. First of all, the romantic frame of this "idealistic crusade " is a return to the first cinematographic exploits of our hero. He now has to deal with the Siths which he must, at all costs, prevent from taking not the Ark of the Covenan,t but rather the Krystal Kaiburr [absolutely no idea what this is!!!]. Same sacred mission punctuated by breath-taking adventures at the four corners of the planet. This time, however, it is not only to the henchmen of DarthSidious that Luke [why does he talk about "Obi"???] must confront, but also his father, Darth Vader, a separatist as erudite as cumbersome, completely out-of-context [archaic?] when in battle, armed only with his light-sabre, and who, moreover, does not take very seriously his playful adventurer of a son. It would have remained only a good idea if the interactions of the father and the son was not echoed, on the screen, by a face-to-face between two actors that provoked sparks: for example Gabriel Byrne and Christopher Walken. And also if, in that meeting, one did not discover, finally, some indices on the true personality of the hero, his motivations, his past. In short, instead of imagining a simple continuation, Lucas gave a some hint of a soul to the character he had created. One can call that an apotheosis...

Sixteen years. It is the time that it took for George Lucas to arrive there. In 1973, the young director was twenty-nine, had just directed "American Graffiti ", and he starts dreaming of an adventure film characters. This hero does not have a name, a vague silhouette but alot of resemblances to these film heroes of B-series movies which was his treat on television as a kid. Lucas then writes a first draft that it presents to one his friends, the scenarist Jonathan Hales. In the script, the hero is already a Jedi; [at the academy, with the Force, it was the preferred matter of Lucas;], but he has an annoying tendency: between two ground missions, he attends night clubs and platinum blondes. After fifteen working days, Hales made disappear both of these. On the other hand, the subject was made more precise. The nameless hero was hired by the Coruscant government to steal from Sith the fabulous Ark of the Covenant containing the Force, and which they are on the point to discover... From there on, script will remain four years in the drawers of George Lucas: it has another project at the head, monumental a saga of science fiction which would be called "Star wars"...

[this was the first part...]

[this AltaVista is so lame!!! But also usefull...]

The day before the first of "Star Wars" in the United States, Lucas went to rest in Hawaii and invited his buddy Rick McCallum to spend a few days with him. It is there, on the beach, that he speaks to him for the first time about his adventure film project. They are well atuned to each other, to say the least. They have known each other for ten years. The movies they make is what makes them both vibe as spectators. They fed from the same references, react to the same codes, and understand each other even without saying anything.

Four other years, however, still pass before the hawain dream of Lucas is concretized. They each have personal projects. Four decisive years, in fact. When they put "Return of the Jedi" in motion, Lucas is already the most powerful producer of American cinema, due to the phenomenal successes of "Star Wars" and of "The Empire Strikes Back"

Created in the closest of collaborations, the film will be done without any external interference. A large studio, Paramount, was involved, but it was Lucasfilm which was calling the shots. Besides, it is said that Lucas left twenty-four hours of reflexion, not one more, to the owner of the studio to decide...

WHEN THE SHOOTING BEGAN, in spring of 1999 [???], the budget was fixed at twenty million dollars and the shooting schedule is spread over eigthy-five days, from the Tunisian desert to Hawaii, in Sydney, in Italy, in the Elstree studios of close to London. Finally, not only the budget is respected, but Lucas end shooting with twelve days of advance on his planning. He will admit: "It was hard sometimes. [The article was cut-off from here???]

At the beginning of the summer of 1999, when, finally, "The Phantom Menace" rolls on the American screens, it is a shock. Spectacular, indeed. One hour and fifty six minutes of non-stop action. What succeeded in doing was an ideal and efficient blend between the art of story-telling and of technical know-how. One can see there a homage to the big movies of the Forties and Fifties, but if "Raiders of the Lost Ark" borrows from all the prototypes of the kind, those are recreated by a highly talented directing. There are scenes of anthology in this movies: do you recall the opening scene in the Indian temple full of traps, the truck pursuit But there is more: the hero himself. He has enough weaknesses to remain human and enough humour to make us forget the most incredible situations. [It seemed that this was an abrupt short allusion to Raiders... Difficult to put it seemlessly with the rest of the text...]

Ewan McGregor has become a star for his interpretion of Obi-Wan in "Phantom Menace". At thirty-eigth years old [he's that old?!!!], he's a star who asserts himself in the role of ObiWan. With his smile as tired as his leather jacket, his attitude of adventurer-in-spite-of-himself, he is Anakin Skywalker [??]. For the first time in his career, he really carries a movie all by himself [or "on his shoulders", litteraly].
And his charisma is wonderful. A posteriori, one can always wonder what would have happened if the Sidious and Tyranus [who???] roles had been entrusted Chris Walken, as they had initially thought...

[...]

The fact is that Hayden Christensen didn't just limited himself at incarnating the character, he more or less "molded it" for himself [that young actor wasn't THAT good! C'mon!]. Which Lucas himself underlined: "Anakin Skywalker is vulnerable. When he's hurt, he shows it, and that, it is Hayden who invented it. In shooting, when I had an idea, he proposed three of them. He took a significant share with the majority of the decisions. I flaired his exceptional narrative sense, his intelligence, his smoothness, and I often appealed to them. He really was, for me, a collaborator at full time." [Well ok, if the big guy himself says so...]


For George Lucas, this Count Dooku [who???] is one of these eminent professors who, having spent their life in books and esoteric searches, do not have any proper existence. George Lucas, "visualizes" exactly the opposite: the father of the hero must have a strong presence, to impose himself while opposing Anakin. And, to play it, there is only one name that comes to mind: Mace Windu. In this choice, there is a little nostalgia and much realism. He told it to few, but, in the mid-seventies, Lucas' dream was to carry out Jabba the Hutt...[???]
Now, it is a question of effeciency: "Without a great actor opposite Ewan, explains it, I was afraid the father would not exist on the screen. There had to be a challenge for him. And who other than Mace Windu himself could compete with Anakin Skywalker?"


[what is the original language of that article, IP? and where does it come from?]

heh heh heh

I've used the Alta Vista tranlator to see what you French speaking folk write to one another!

Nuances are utterly lost, and it's not much good. Sadly, it's better than my translation skills!

That article made no sense......were they trying to say that Raider's was somehow influenced by SW during the time which GL conceived of SW? Hehe, that didn't make much sense either. The dates were all out of wack. Not to mention that Ep.2 was discussed like it was last years movie. Man, I am lost and want to know more about this crazy article. Surely not that much confussion could be attributed to the translation. Which BTW, was nice of Juntel to take the time to do.

As I mentionned above, I'm sure this article is itself a translation from another language.
Maybe Japanese? That would explain "Obi" appearing in unexpected places for our language.

Anyways, I may return to make some corrections later tonight. I have things to do right now.

I hope IP will give the source to this, so that we can know what the writer was talking about in some instances...

Nice of juntel?!

It was Herculean!

!!!! I guess it was a bit of an understatement!

Heh, nice work, juntel... turns out it was an old article about a possible Indy 4 or something with some edits made here and there. Not a "hoax" but rather a joke on the part of a fellow JCer.

Oh, forgien languages. Hehe. I was playing this online game, and then just for the fun of it, translated "I am stuck in the Ocean" into Icelandic, and then someone translated it back but the translator said "I am stuck up a river" and everyone thought she was calling me stuck-up, and started shouting nasty things at her, and almost got kicked outta the game.